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Altice, december 2017, bodem bereikt ?

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bartvde
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Diegy schreef op 5 december 2017 15:04:

Winstnemers komen zo denk ik. Dit gaat veel te hard omhoog op niks.
dat was de day high
7,62 en een beetje
Tommie_Hilfiger
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northside schreef op 5 december 2017 15:04:

ziezo , ben er weer uit . papieren winst veilig stellen , komen nog kansen genoeg :)

Toch nog een slimme belegger! Blijven zitten is op dit moment gelijk aan gokken. Dan kan je zo beter Bitcoin gaan kopen. Daar zijn de winsten groter.
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bartvde schreef op 5 december 2017 15:02:

@eurowin ben je nog steeds bang voor die dump?
Ben nergens bang voor, loop alleen mee en nu er even uit.... ik ben namelijk niet op HOOG in dit aandeel gegaan, dus voor mij is het een gok sport mooi aandeel ..gr

Maar ik hoop voor velen die er wel op HOOG in zitten, dat het goed komt, maar ik geloof dat soort ratjes als ABN en GS nooit.... zeker GS niet) altijd uitkijken...
Diegy
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Daarom nu winst nemen. Kan eind van de middag of morgen zomaar weer rond de 7,20 staan. 50 miljard aan schulden
Blanco rolling
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Lol, wie was dat ook weer die gisteren hier zei: " ik ben short gegaan op 7.00 voor de lol"
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northside schreef op 5 december 2017 15:04:

ziezo , ben er weer uit . papieren winst veilig stellen , komen nog kansen genoeg :)

Domdomdom
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.Boursier.com) — Avec seulement trois séances de hausse pour dix-sept de baisse depuis le 3 novembre, l'action Altice se dirige vers un mois de novembre cauchemardesque, qu'elle est en passe d'achever sous les 7 euros (le titre creuse ses pertes en fin de séance, en repli de 5% à 6,65 euros), alors qu'elle l'avait démarré à 16,195 euros. Entre les deux, un avertissement sur les résultats, un constat d'échec sur la stratégie menée par SFR, une grande frousse des investisseurs sur la dette et -57% au compteur. Le marché est tombé sur Patrick Drahi avec la même force que celle qu'il avait déployée à l'encenser jusqu'à une période récente.

Le modèle Altice, la construction d'un grand groupe transatlantique des télécoms et des médias en utilisant au maximum le levier de l'endettement, a longtemps séduit. Certains ont d'ailleurs dressé un parallèle avec Vivendi Universal, qui était passé près du précipice en 2002, provoquant l'éviction de son créateur Jean-Marie Messier. Cependant, la situation des deux groupes est différente, car Altice génère beaucoup de liquidités. Patrick Drahi et son équipe n'ont fait qu'appliquer une méthode simple : l'argent est actuellement très bon marché et les activités rachetées sont fortement génératrices de trésorerie. Ces flux copieux permettent une capacité d'emprunt élevée. Une recette efficace, qui a permis à Altice de récupérer des actifs en perte de vitesse mais bien implantés, comme SFR et Portugal Telecom, tout en jouant les trublions dans les médias (NextRadioTV, des droits sportifs majeurs...) et en prenant pied dans le câble aux Etats-Unis. Un modèle vertueux tant qu'aucun grain de sable ne venait gripper la machine.

SFR s'est fourvoyé

Ce maillon faible, c'est SFR. L'opérateur est loin d'être en difficultés financières. Il continue à cracher des liquidités pour rembourser la dette et investir. Mais la stratégie de réduction drastique des coûts, saluée par les financiers, a ses limites. Devant la grogne des abonnés, qui s'est transformée en hémorragie de la base clients, l'opérateur a dû recommencer à dépenser pour son réseau et son service clients et revenir sur sa stratégie. Mais les résultats se font attendre. Restaurer la confiance des consommateurs prend du temps. Patrick Drahi a fait amende honorable, en reprenant en main, avec sa garde rapprochée, les activités. Exit donc Michel Combes. Exit aussi les objectifs. Et bonjour le doute. Les investisseurs ont vite vu l'effet de ciseau potentiel entre les trajectoires de la dette et de la génération de cash-flows. Et l'action a explosé.

Le message a été entendu. Patrick Drahi s'est empressé de rappeler que les échéances importantes de remboursement sont éloignées (2022). Il a aussi pris l'engagement de céder des actifs pour alléger le bilan, tout en renonçant, cela va de soi, à poursuivre une politique intense d'acquisitions. Les pylônes télécoms, la filiale dominicaine, voire même Portugal Telecom : plusieurs scénarios de vente ont été examinés par les analystes. Relancer SFR, ce qui contribuera notamment à assurer la pérennité de ses cash-flows, coûtera plus cher que prévu, ça aussi les investisseurs l'ont compris. Mais ils veulent maintenant des actes, ce qui explique la déprime qui perdure sur l'action.

Chez les analystes, nous en avons parlé précédemment, les ajustements baissiers d'objectifs se sont multipliés. Le cours-cible moyen était de 24,14 euros au 30 octobre 2017. Un mois plus tard, il est descendu à 14,57 euros, après la décision hier soir de JP Morgan de ramener le sien de 23 à 13,30 euros. Il n'y a plus que HSBC pour oser une valorisation aussi élevée que 20 euros désormais. Le 31 juillet dernier, aucun analyste ne visait moins de 20 euros.
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KablaG schreef op 5 december 2017 15:12:

.Boursier.com) — Avec seulement trois séances de hausse pour dix-sept de baisse depuis le 3 novembre, l'action Altice se dirige vers un mois de novembre cauchemardesque, qu'elle est en passe d'achever sous les 7 euros (le titre creuse ses pertes en fin de séance, en repli de 5% à 6,65 euros), alors qu'elle l'avait démarré à 16,195 euros. Entre les deux, un avertissement sur les résultats, un constat d'échec sur la stratégie menée par SFR, une grande frousse des investisseurs sur la dette et -57% au compteur. Le marché est tombé sur Patrick Drahi avec la même force que celle qu'il avait déployée à l'encenser jusqu'à une période récente.

Le modèle Altice, la construction d'un grand groupe transatlantique des télécoms et des médias en utilisant au maximum le levier de l'endettement, a longtemps séduit. Certains ont d'ailleurs dressé un parallèle avec Vivendi Universal, qui était passé près du précipice en 2002, provoquant l'éviction de son créateur Jean-Marie Messier. Cependant, la situation des deux groupes est différente, car Altice génère beaucoup de liquidités. Patrick Drahi et son équipe n'ont fait qu'appliquer une méthode simple : l'argent est actuellement très bon marché et les activités rachetées sont fortement génératrices de trésorerie. Ces flux copieux permettent une capacité d'emprunt élevée. Une recette efficace, qui a permis à Altice de récupérer des actifs en perte de vitesse mais bien implantés, comme SFR et Portugal Telecom, tout en jouant les trublions dans les médias (NextRadioTV, des droits sportifs majeurs...) et en prenant pied dans le câble aux Etats-Unis. Un modèle vertueux tant qu'aucun grain de sable ne venait gripper la machine.

SFR s'est fourvoyé

Ce maillon faible, c'est SFR. L'opérateur est loin d'être en difficultés financières. Il continue à cracher des liquidités pour rembourser la dette et investir. Mais la stratégie de réduction drastique des coûts, saluée par les financiers, a ses limites. Devant la grogne des abonnés, qui s'est transformée en hémorragie de la base clients, l'opérateur a dû recommencer à dépenser pour son réseau et son service clients et revenir sur sa stratégie. Mais les résultats se font attendre. Restaurer la confiance des consommateurs prend du temps. Patrick Drahi a fait amende honorable, en reprenant en main, avec sa garde rapprochée, les activités. Exit donc Michel Combes. Exit aussi les objectifs. Et bonjour le doute. Les investisseurs ont vite vu l'effet de ciseau potentiel entre les trajectoires de la dette et de la génération de cash-flows. Et l'action a explosé.

Le message a été entendu. Patrick Drahi s'est empressé de rappeler que les échéances importantes de remboursement sont éloignées (2022). Il a aussi pris l'engagement de céder des actifs pour alléger le bilan, tout en renonçant, cela va de soi, à poursuivre une politique intense d'acquisitions. Les pylônes télécoms, la filiale dominicaine, voire même Portugal Telecom : plusieurs scénarios de vente ont été examinés par les analystes. Relancer SFR, ce qui contribuera notamment à assurer la pérennité de ses cash-flows, coûtera plus cher que prévu, ça aussi les investisseurs l'ont compris. Mais ils veulent maintenant des actes, ce qui explique la déprime qui perdure sur l'action.

Chez les analystes, nous en avons parlé précédemment, les ajustements baissiers d'objectifs se sont multipliés. Le cours-cible moyen était de 24,14 euros au 30 octobre 2017. Un mois plus tard, il est descendu à 14,57 euros, après la décision hier soir de JP Morgan de ramener le sien de 23 à 13,30 euros. Il n'y a plus que HSBC pour oser une valorisation aussi élevée que 20 euros désormais. Le 31 juillet dernier, aucun analyste ne visait moins de 20 euros.
en?
NewKidInTown
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Het gezondste zou zijn, nu even weer terug naar 7,20 en vandaar de bodem verder aanstampen. Het lijkt erop nu.
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an de website van ABN AMRO:

Aandelen Altice zeer aantrekkelijk gewaardeerd

24 november | 11:39

We starten met het volgen van Altice (Kopen). Het bedrijf krijgt een Kopen-aanbeveling. Het koersdoel bedraagt € 16,00. De aandelenkoers is de afgelopen maand met 48% gedaald. We denken dat het aandeel nu zeer aantrekkelijk is gewaardeerd.

Het bedrijf heeft het afgelopen jaar € 35 miljard van de totale nettoschuld van € 48 miljard geherfinancierd. We denken niet dat het bedrijf de komende jaren in betalingsproblemen komt. Ook is het niet waarschijnlijk dat een aandelenemissie noodzakelijk is. Slechts 20% van de totale schuld moet in de komende 4 jaar worden afgelost.

De inkomsten bij SFR staan mogelijk nog 2 jaar onder druk. Maar de reorganisatie in Frankrijk en de kostensynergie in de Verenigde Staten zorgen voor een hoge toekomstige groei.

De vrije kasstroom blijft sterk. Voor dit jaar wordt een vrije kasstroom verwacht van € 5,5 miljard. De investeringen bedragen dit jaar € 4,0 miljard. Daardoor kan de schuld versneld worden afgelost.

Als de rente met 500 basispunten zou stijgen, zouden de rentekosten met slechts € 300 miljoen per jaar stijgen. Met een verwacht bedrijfsresultaat (EBITDA) voor komend jaar van € 9,5 miljard en verwachte investeringen van € 3,9 miljard heeft dit nauwelijks invloed.

Altice levert ieder jaar nieuwe kabelverbindingen aan 4 miljoen huishoudens. Daarmee is het bedrijf toonaangevend in de wereld. Het bedrijf zal dit jaar ook € 700 miljoen besteden aan programmering. In 2019 is dat naar verwachting € 1 miljard.

Als we de waarde van de verschillende delen bij elkaar optellen komen we op een waardering van € 17,80 per aandeel. Alleen al het belang van 70,2% in Altice USA is € 7,30 per aandeel waard. De waardering op basis van verdisconteerde winst (DCF) bedraagt € 16,80. Op basis van de waardering van sectorgenoten komen we voor Altice uit op een waardering van € 20,50.

Het rendement op de vrije kasstroom bedraagt dit jaar 9,5%. Dit stijgt naar 10,0% in 2018 en 10,9% in 2019. Dit zorgt er in onze ogen voor dat er een bodem onder de koers wordt gelegd. Ons koersdoel van € 16,00 betekent een korting van 15% op de fair value inschatting die we het bedrijf toekennen.
Blanco rolling
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En nu gaat RDS als een speer en die heb ik ook, nl 6 k stuks. Niet allemaal aandelen overigens, maar deels ook opties deep in the money met een lange looptijd
Anders denken jullie, zooooo die heeft een hoop poen.
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Beursblik: optimisme beursexperts is terug

Redactie De Aandeelhouder - vrijdag, 01 december 2017

Ahold Delhaize topper voor december.

(ABM FN-Dow Jones) Aan het einde van 2017 is het optimisme onder de beursexperts teruggekeerd. Dit concludeerde analist Corne van Zeijl van Actiam.

Uit de maandelijkse enquete die Actiam onder beursexperts houdt, bleek dat "maar liefst de helft van de ondervraagden" denkt dat de beurs in december zal stijgen. "Men gaat vooral van een eindejaarsrally uit", aldus Van Zeijl. Slechts 15 procent van de experts is somber gestemd voor december, de overige 35 procent is neutraal.

De experts waren het hele jaar door erg terughoudend. "De afgelopen maand lieten ze die terughoudendheid voorzichtig een klein beetje varen. En prompt ging de AEX met 1,8 procent naar beneden", constateerde Van Zeijl.

Top & Flop
Komende maand moeten beleggers vooral het aandeel Ahold Delhaize in portefeuille hebben, menen de experts. Ook ASML, Altice en indexzwaargewicht Shell zijn geliefd onder de experts. Volgens Van Zeijl vinden de kenners dat Altice, althans voor even, voldoende gedaald is. ASML stond in november nog bij de floppers, en de koers daalde inderdaad.

Gemalto, afgelopen maand nog een topper volgens de experts, daalde echter ook in november. Voor december rekenen de experts op een verdere daling van het aandeel.
hangklok
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Vergeet niet dat de koers en maand geleden nog 16/17 euro stond dan is terug vallen naar 6,50 wel erg veel of niet diegy.
Diegy
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Short partijen gaan zo echt wel tegen gas geven. Koers blijft nu te lang hangen rond de 7,61
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